Plus isolé que jamais
Reclus à la Maison Blanche, Donald Trump aurait fait savoir à ses proches qu'il n'avait aucune intention de démissionner, selon le New York Times samedi 9 janvier. Même dans le camp républicain, certains élus ont semblé ouverts à la possibilité d'un nouvel "impeachment". Le sénateur Ben Sasse a ainsi affirmé qu'il examinerait les chefs d'accusation si la Chambre ouvrait une procédure de destitution.
Sans se prononcer sur une potentielle "destitution", une autre élue républicaine a appelé au départ de Donald Trump. "Je veux qu'il démissionne. Je veux le voir partir. Il a causé assez de dégâts", a déclaré la sénatrice modérée Lisa Murkowski. Plus isolé que jamais, alors que deux membres de son gouvernement ont démissionné, le milliardaire républicain s'est vu priver vendredi soir de son canal de communication favori, Twitter, mais n'a donné aucun signe de vouloir se faire discret.
"Nous ne serons pas réduits au silence", a-t-il répliqué après la suspension permanente de son compte Twitter via le compte officiel POTUS (Président des États-Unis), à l'attention des "75 millions de patriotes" qui ont voté pour lui.
Donald Trump a même évoqué des représailles contre le réseau social qui "interdit la liberté d'expression" et le possible lancement de sa propre plateforme dans un futur proche, à travers une série de messages immédiatement retirés par Twitter. "Museler la liberté d'expression est dangereux", a appuyé samedi 9 janvier le secrétaire d'État Mike Pompeo, fidèle de Donald Trump.
Le Village culturel et touristique des ethnies du Vietnam est une des destinations appréciée en campagne périurbaine de Hanoï. Ce village est tout comme un musée à ciel ouvert et présente les caractéristiques culturelles typiques des 54 groupes ethniques du pays.