Chronique touristique : les petits métiers

Les petits métiers existent partout dans le monde. Ils sont pratiqués parfois de manière ponctuelle en complément d’une activité professionnelle insuffisamment rémunérée. Toutefois, partout dans mes voyages, je vois des «pauvres» gens dont les conditions d’existence sont pénibles.

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Au Vietnam, j’ai pu en photographier quelques-uns. J’ai beaucoup aimé celui de la fleuriste : au moins elle peut vivre toute la journée avec le parfum et la beauté de sa marchandise. Tout comme celui de la marchande de fruits. Le gardien de parking pour deux-roues : moyennant quelques dôngs, il veille sur un important rassemblement de motos tel un berger sur son troupeau de moutons.

Le coiffeur : strict minimum. Un siège, un miroir accroché au mur (ou à un arbre), le nécessaire à coiffure, pas de balai, le vent se charge du ramassage des cheveux défunts. Attention ! Salons réservés aux hommes.

Le cordonnier : celui que j’ai rencontré affichait un franc sourire de la tête aux pieds, car ces derniers étaient nus, orteils écartés prolongeant la bonne humeur reflétée à l’étage supérieur. Pour tous, leur «commerce» ne demande pas de gros capitaux de départ, car souvent exercé dans la rue. Certains même se déplacent en transportant leur «magasin».

Le sourire de la fleuriste.
La marchande ambulante livre ses produits de village en village.

La marchande de fruits.

Le gonfleur de pneumatiques.
Le rémouleur.

Texte et photos : Daniel Ambrogi/CVN

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